“Nous recommandons au gouvernement dintroduire un projet de loi qu’en cas de divorce non motivé, le domicile conjugal revient à la femme et aux enfants’’. C’était lors de la clôture du Salon de la Femme tchadienne SAFEM 2025 qui s’est tenu du 1er au 7 mars 2025. Ce salon a permis aux participants d’échanger sur plusieurs sujets, notamment le leadership féminin, l’innovation et la résilience des femmes tchadiennes. Les participantes et participants ont, à cette occasion, formulé 18 recommandations dont la dernière ne semble pas plaire, particulièrement, aux hommes. Les avis d’hommes et de femmes ne convergent toujours pas à ce sujet. Pourtant, certaines participantes réagissent comme si, ce qui est encore une recommandation, est une réalité.
C’est pourquoi nous avons invité ici d’homme et des femmes pour analyser d’abord la tenue du tout premier salon de la femme tchadienne, voir la particularité de cette édition de la journée internationale de la femme et enfin analyser et proposer des recommandations dans le sens de garantir les droits féminins.
Pour discuter de ce sujet, nous avons comme intervenants, Madjilem Alphonsine, Coordonnatrice de l’ASFEDYC (Association des Femmes pour le Dynamisme Citoyen au Tchad) ;
Ahmat Haroun Lary, Président du Groupe de réflexion pour l’avenir et la construction du Tchad (GRACTCHAD). Et enfin Cynthia Djihida, présidente de l’association Œilfeminin.
Laisser un commentaire