A N’Djamena, les difficultés d’accès à l’emploi emmènent certains jeunes à exercer des petits métiers pour subvenir à leurs besoins. Le métier de conducteur de mototaxis appelé communément clandoman en fait partie. Cependant dans la pratique, les jeunes clandoman fixent des prix exorbitants pour le déplacement et cela crée du mécontentement au niveau des clients. Les conducteurs de motos-taxis et leurs clients trouvent toujours le moyen de s’entendre sur le prix selon la distance. Oumar Mahamat Yana a fait un tour dans la ville pour faire un constat sur cette activité, suivez son reportage.