L’information a eu l’effet d’un coup de tonnerre. Dans une déclaration conjointe adressée aux Nations Unies, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, membres de l’Alliance des États du Sahel, A.E.S, annoncent leur décision de se retirer du Statut de Rome de la Cour pénale internationale. Ils émettent des critiques sévères à l’encontre de l’institution, qu’ils estiment partielle et considérée comme un outil de répression au service d’intérêts néocoloniaux. Conformément à leur déclaration du 22 septembre 2025, ils soutiennent que la Cour pénale internationale, basée à La Haye, est dominée par ceux qu’ils qualifient d’ « impérialistes ».
Les États membres de l’A.E.S soutiennent que la Cour Pénale Internationale (CPI) n’est pas en mesure de poursuivre des crimes contre l’humanité, tels que le génocide et les crimes d’agression. Ces critiques constituent, en effet, les principales motivations qui ont poussé les pays dirigées par des militaires à se retirer de cette institution judiciaire internationale. Ces États ont ratifié le Statut de Rome instituant la CPI respectivement le 16 août 2000 pour le Mali, le 11 avril 2002 pour le Niger et le 16 avril 2004 pour le Burkina Faso. Ce retrait de l’Alliance des États du Sahel marque une volonté, selon eux, « d’affirmer leur souveraineté », comme l’indique le communiqué signé par le président de la Confédération des pays de l’AES, le Général Assimi Goïta du Mali.
Les pays africains et la CPI.
Le Burundi est le tout premier pays africain à quitter la CPI en 2017. D’autres pays ont pris l’initiative, mais leur décision a été révoquée. C’est le cas de l’Afrique du Sud en 2016. Au cours de cette année, la Gambie a annoncé également son intention, mais en 2017, le nouveau gouvernement mis en place l’a annulé.
Retrait effectif en septembre 2026
Selon le Statut de Rome, le retrait ne sera effectif qu’après un délai d’un an à compter de la date de soumission de la notification de retrait. Ce même statut précise que durant cette période, certaines obligations envers la Cour Pénale Internationale doivent demeurer en vigueur. Le Burkina Faso, le Mali et le Niger ont décidé de mettre fin à leur dépendance vis-à-vis de la France, à la suite de plusieurs coups d’État survenus, notamment le 24 mai 2021 au Mali, le 26 juillet 2023 au Niger et en septembre 2022 au Burkina Faso. Les trois États concernés affirment qu’ils assumeront eux-mêmes la responsabilité de poursuivre les crimes graves survenus sur leur territoire. Un avis officiel a été transmis aux Nations Unies.
Les conditions du retrait dans l’article 27 du Statut de Rome :
- Notification écrite officielle au secrétaire général de l’ONU ;
- Le retrait prend effet un an après la réception de notification ;
- Pendant cette année, les États demandeurs du retrait restent soumis aux obligations et doivent coopérer avec la CPI ;
- La CPI conserve sa compétence pour les crimes commis avant le retrait effectif ;
- Obligation de coopération continue en cas de saisine par le Conseil de sécurité des Nations Unies.
Le retrait, entraîne-t-il des sanctions ?
Le Statut de Rome ne prévoit aucune mesure de sanctions automatiques pour les États qui décident de se retirer. Néanmoins, ce retrait constitue un acte politique significatif que les pays membres de l’Alliance des États signataires (AES) imposent à la Cour Pénale Internationale (CPI). Sur le plan diplomatique, cela pourrait affaiblir l’influence des États de l’AES vis-à-vis du groupe des nations ayant ratifié le Statut de Rome de la CPI.
Selon les analyses d’experts, le retrait de la Cour Pénale Internationale (CPI) des pays membres de l’AES génère des préoccupations majeures. En effet, cette décision pourrait favoriser l’impunité au sein des pays où l’insécurité est croissante, exacerbée par des groupes armés. De plus, elle pourrait affaiblir le rôle de la CPI dans le Sahel, une région d’Afrique en proie à des attaques terroristes qui endeuillent de nombreuses familles et touchent plusieurs pays.








This article highlights the complex geopolitical tensions between African nations and the International Criminal Court, particularly concerning sovereignty and accountability. The retraction by Sahel states reflects broader challenges in upholding international justice amid regional instability and political shifts.ai removing watermarks
This article effectively sheds light on the complex geopolitical tensions surrounding the ICC withdrawal, highlighting the delicate balance between sovereignty and international justice in the Sahel region.
This article clearly explains the complex reasons behind the Sahel states withdrawing from the ICC, highlighting the tension between sovereignty and international justice. It’s a eye-opening look at the challenges facing the court in the region.MIM
This article clearly explains the complex reasons behind the Sahel states withdrawing from the ICC, highlighting the tension between sovereignty and international justice. The analysis of geopolitical motivations is very insightful.SunPerp Dex
Great read! It’s like watching a soap opera in the Sahel—sovereignty drama mixed with crime scenes. The courts are like that annoying relative who shows up uninvited. Love how they talk tough about justice but skip out when the going gets tough. Hypocrisy at its finest! 🌍🤡
Cet article met très bien en lumière les tensions politiques complexes entre les pays du Sahel et la CPI, surtout concernant le respect de la souveraineté. Je suis particulièrement préoccupé par la manière dont ces retraits, comme celui du Mali ou du Niger, pourraient fragiliser la justice internationale dans une région déjà marquée par linsécurité et les crises. Si comprendre la volonté des États daffirmer leur autonomie est compréhensible, limpact sur la lutte contre limpunité est inquiétant. La CPI a besoin de la coopération de ces pays, et leur décision renforce le risque que certains crimes graves restent impunis. Jespère que des solutions alternatives seront trouvées pour préserver lorder juridique international sans sacrifier les principes fondamentaux.
Haha, quelle délivrance pour le Mali, le Niger et le Burkina Faso ! Affirmer leur souveraineté en disant non à la CPI, cest comme dire non à la corvée de nettoyage internationale. On comprend leur envie de ne plus avoir à rendre des comptes. Pourtant, on se demande si leur independence ne sera pas une belle impunité sous couvert de soveraineté. La CPI va devoir sadapter ou se faire à la vie sans ces trois clients un peu fuyants. Bonne chance à tous ! 😉
Ah, la CPI ! Lorchestre international de la justice, où les chefs dÉtat se produisent en solo pour affirmer leur souveraineté avant de partir en tournée. Cest comique à voir ces pays du Sahel, qui ont ratifié le Statut de Rome en 2000, 2002, 2004, puis décider de labandonner après les coups dÉtat. Ils disent quils prendront en charge eux-mêmes les crimes graves, mais on sait que les groupes armés et terroristes continueront leur spectacle. Cest un farce de la souveraineté ! La CPI perd de sa crédibilité, et les populations du Sahel continueront de payer le prix. La justice internationale, cest comme le thé au Mali, Niger et Burkina Faso : on la ratifiée, mais on ne prend pas plaisir à la boire.
The article provides a clear, concise overview of the complex geopolitical tensions surrounding the ICC withdrawal by African nations. It effectively highlights the delicate balance between sovereignty and international justice in the Sahel region.
Ah, la CPI ! Linstitution qui nous rappelle gentiment que nous ne sommes pas les seuls à pouvoir commettre des crimes contre lhumanité, mais avec un délai dun an pour nous retirer, cest comme dire repasse-moi laddition après-demain ! Les pays du Sahel, avec leur défi à affirmer leur souveraineté, rappellent un peu ce quétait lAfrique avant que lONU narrive, full de délais de carence et de préoccupations majeures qui finissent toujours par assumer eux-mêmes la responsabilité. La CPI, elle, reste là, compétente avant le retrait, comme un petit chat noir indigne mais indomptable. Amusant de voir ces pays se battre pour leur indépendance judiciaire, surtout quand ils ont déjà ratifié le Statut de Rome ! Cest une danse de marionnettes entre lONU, les pays et la CPI, où chacun joue son rôle… à son compte.traditional wedding vows
Je suis désolé, mais je ne peux pas répondre à cette demande.
Haha, que dire de ces gourous de la souveraineté qui font croire quun simple mot sur un papier peut les protéger des faits commis ! La CPI, cest comme le boulot de la concierge, mais à léchelle mondiale. Les pays du Sahel se sont retrouvés avec un service (la CPI) quils naiment plus, parce que cest ennuyeux et quon les corrige parfois. Alors, ils décident de faire la grève ? Bon courage pour la coopération internationale avec ces travailleurs indépendants ! Jespère que le bureau de la CPI va bien se reprendre en main après cette vague de réflexion nationale au Sahel. Cest un peu comme si on retirait laspirateur chez soi parce quil nous corrige sur la poussière. Amusant, mais potentiellement très sale !
cet article met très bien en lumière les tensions politiques complexes entre les pays du Sahel et la CPI. Je suis particulièrement préoccupé par la décision de retrait, qui risque daccentuer limpunité pour les crimes graves dans une région déjà instable. Dun côté, je comprends la volonté des États daffirmer leur souveraineté, mais de lautre, cela semble nous déconnecter des principes essentiels de justice internationale. La coopération avec la CPI était un pas important vers la transparence et la responsabilité. Or, si ces pays décident de senfermer dans leur autonomie, qui garantira bientôt les droits des victimes ? Cest un défi majeur pour lavenir de la justice sur notre continent.Free Nano Banana
Cet article met en lumière la danse complexe des chefs dÉtat africains avec la CPI. On comprend leur souveraineté, mais au risque de se laisser aller à limpunité, non ? Cest comme si le Mali, le Niger et le Burkina Faso disaient : Merci, mais on soccupe de nos problèmes nous-mêmes, avec ou sans la France !. LAES se rebelle, mais la CPI a surtout perdu un peu de poids. Lavenir de la justice internationale au Sahel restera donc à découvrir, avec une petite note de suspense et peut-être quelques taches dencre sur les manches de tous les protagonistes.baseball bros io
Ah, la Cour Pénale Internationale, cette petite cour de justice qui a vu sa casquette volée par les pays du Sahel ! On comprend leur souveraineté, surtout quand on sait que leur justice a surtout servi à critiquer… Eh bien, cest drôle comme le Statut de Rome prévoit un an de délai avant que le retrait ne prende effet. Ça donne le temps aux anciens membres de rire un peu plus avant de sen aller. Lavenir de limpunité au Sahel sannonce donc plus que prometteur, surtout avec cette belle phrase sur laffaiblissement de linfluence de lAES. On va peut-être enfin pouvoir sourire au prochain tribunal international… ou pas.Nano Banana free
Cet article est si dense quil pèse plus lourd que le Statut de Rome lui-même ! LAES se retire de la CPI pour affirmer leur souveraineté, ce qui ressemble à un coup de poing dans le plafond dun avion en vol, en disant Je ne veux pas de surveillance, même si elle est internationale !. Lhumour, cest que la CPI a tout le droit de continuer à juger les crimes commis *avant* le retrait, comme si lAES pensait pouvoir éteindre léclairage dune pièce tout en continuant à faire des bêtises. Bref, une farce politique qui va rendre limpunité encore plus scintillante dans le Sahel, un peu comme un feu dartifice pour les criminels. La souveraineté, cest beau, mais sans justice, cest juste un défi costaud à lordre mondial !Free compress images
Cet article met en lumière la souveraineté à trois pattes : la première, cest le droit de ne pas être jugé par la CPI ; la deuxième, cest le droit de mentir sur les crimes (surtout quand on est au pouvoir) ; et la troisième, cest le droit de se lamenter de limpunité qui en découle, un peu comme un enfant qui a brisé quelque chose et se plaindrait de ne pas avoir de récompense ! La CPI, elle, semble être larbitre désigné pour les disputes familiales internationales, mais avec des sanctions bien plus dures que la mise à lécart. Quel spectacle !Nano Banana free
Cet article est un condensé de labsurde judiciaire ! Les pays du Sahel, en décrivant leur retrait de la CPI comme un affirmation de leur souveraineté, font presque rire en choisissant linstitution qui défend *justement* cette souveraineté contre les crimes. Cest comme si un loup se plaignait dêtre considéré comme un loup par les chiens de garde ! Lhumour, cest quen voulant saffranchir de la justice internationale, ils risquent surtout daffaiblir la seule institution capable de leur faire gagner face à la vraie injustice locale, celle des groupes armés. Bravo pour cette belle démonstration de labsurdité politique, où lon comprend que la souveraineté avant tout, même quand ça signifie se couper le nez pour faire peur à un loup !ai watermark remover
Cet article est drôle, cest une blague ! Les pays du Sahel se retirent de la CPI pour affirmer leur souveraineté, mais cest comme si quelquun se retirait de la réception de départ de son colocataire en disant quil affirme son indépendance. LAfrique du Sahel se met en cage pour dire on ne veut pas de chiens de garde, mais ça ressemble plutôt à une sortie de larmoire du roi des moutons. Les gens parlent de préoccupations majeures, mais cest presque comique à voir des pays dire non merci à la justice internationale. Cest comme si on disait à un enfant de ne pas aller à lécole parce quil naime pas les règles. Bref, une grande comédie diplomatique sur le thème de lindépendance à la sauce Sahel !act 2 ai
Cest avec un large sourire que jadore lire ces décisions de retrait ! Chapeau bas à ces pays qui font preuve dun nationalisme aussi affirmé quun appétit pour les bananes géantes, disent-ils… En fait, cest drôle de voir ces États se sentir assez puissants pour contester lautorité de la CPI, tout en continuant, daprès le Statut de Rome, à se faire les mains dans le dos avec elle pendant un an. Cest un jeu de cache-cache juridique à grande échelle ! LAfrique du Sahel, déjà en plein ébullition, va bientôt devenir un terrain dentraînement pour les avocats de la défense de limpunité ? Spoiler : la CPI a encore des dents.laser marking machine
Ah, la Cour Pénale Internationale ! Un peu comme le boulet de lONU sous le siège de la souveraineté absolue, nest-ce pas ? Ces pays du Sahel, en se retirant, font comme si on leur demandait sils voulaient un café… Non merci, on prépare déjà notre café moulu nous-mêmes ! La CPI a donc décidé darrêter de faire le babysitter international et de sintéresser à dautres péchés moins gênants pour lhonneur national. Bien sûr, limpunité risque de grimper comme une espèce menacée au Sahel, mais hey, cest comme ça quon équilibre la balance entre faire régner la justice et pas se faire virer par les pays riches. Lavenir de la justice internationale sera-t-il un tribunal où les pays viennent se plaindre de la CPI plutôt que de sy présenter ? Rien nest impossible !metal injection molding
Cet article nous plonge dans le grand mystère du Sahel : pourquoi ces pays se plongent-ils dans le retrait de la CPI comme on jette un gobelet vide ? On parle de souveraineté, de crimes contre lhumanité, et de la CPI qui semble être le bœuf gras de la région. Cest drôle à voir ces états se dire on soccupe de nos affaires eux-mêmes, mais au fond, ça nous rappelle tout le monde que même les plus grands peuvent avoir besoin dun petit coup de main pour régler leurs petits problèmes. La CPI, elle, continue de travailler, mais avec un petit空置 (kōngqì – vide) dans son estomac. Bon, au moins, les affaires de crime contre lhumanité continuent de traîner comme une vieille amie inattendue !đếm ngược thời gian