Par un communiqué de presse signé ce 14 février 2022, par la voix de son secrétaire général, Abba Daoud Nandjédé, l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad (ADHET) est très profondément touchée par la mort de plusieurs personnes, qui s’est survenu à Sandana, le 9 février.
Ainsi, tout en condamnant la légèreté et la passivité des forces de défenses et de sécurité du Moyen Chari ayant conduit à ce « massacre civil », l’ADHET, exige que les auteurs et coauteurs soient arrêtés en urgence et traduits en justice. En outre, l’ADHET lance un pressent appel à la paix dans la province du Moyen Chari et en appelle au sens pacifiste de la communauté victime.
En somme, précise le communiqué, il est tout simplement inadmissible que, dans un territoire d’un pays que des individus puissent disposer des armes de guerre sans qu’ils soient inquiétés ni désarmés.