Au Tchad, les autorités continuent d’accueillir les réfugiés et retournés qui affluent suite à la crise soudanaise. Pour faire face à cette crise humanitaire, le gouvernement et les organisations non gouvernementales œuvrent pour éviter que la situation de ces personnes vulnérables ne se détériore davantage. Mais force est de constater que les vivres et les non-vivres destinés aux réfugiés sont vendus dans la capitale, comme en témoignent l’un des consommateurs sous couvert d’anonymat.