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7 enfants sur 10 victimes de violences à la maison au Tchad.

21 novembre 2018
Temps de lecture : 2 minutes

Les auditeurs de Radio Ndarason Internationale demandent aux parents d’assurer convenablement l’éducation de leurs enfants et veiller à leur protection. Ils l’ont dit mardi dernier dans l’émission interactive « Appel des auditeurs», à l’occasion de la journée internationale de droits de l’enfant. Au cours de cette émission qui se déroule chaque matin de 6H 30 à 6H55, excepté le week-end, les auditeurs se prononcent sur un sujet donné.

Selon l’un des participants, frapper un enfant est une attitude qui ne contribue pas à sa construction. Pour lui, l’idéal est de communiquer avec l’enfant. Il déclare : « Les parents et ainés doivent se mettre à l’évidence que maltraiter un enfant est un acte inhumain, car ils sont des êtres très fragiles. Même s’ils ne comprennent pas ce qu’on leurs dit, il est préférable de les aborder d’une autre manière pour les ramener à la raison».

Pour un autre participant, il est très important que les parents veillent à donner une éducation de qualité à leurs enfants. Pour que l’enfant ait une éducation solide, il doit être instruit, affirme-t-il.  C’est pourquoi, affirme-t-il, chaque parent doit inscrire son enfant à l’école pour lui assurer un avenir radieux, car l’enfant a le droit de l’éducation et à la sécurité.

Il est à noter  qu’environ 7 enfants sur 10  ont subi des formes de disciplines violences au Tchad, selon le Fond des Nations Unies pour l’Enfance, Unicef. Le recours aux méthodes de disciplines violentes augmente avec l’âge de l’enfant. Il varie de 51 % entre 1 à 2 ans et à 77% entre de 5 à 9 ans précise l’Unicef.

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